Des axes de travail, mais sans les structures : cela va être difficile
Les DD, DR, et organisation syndicales étaient invitées à une réunion d’information de rentrée. Le cabinet de la Ministre et les DRH EN et MAS étaient présents. Soit une cinquantaine de personnes en conférence audio…
De l’introduction du cabinet nous retenons que l’action de la ministre déléguée s’inscrit dans le challenge fixé pour le gouvernement des 600 jours avant les prochaines élections présidentielles. Nous pouvons nous réjouir que des orientations soient fixées. Mais faute d’arbitrages sur les CTS, le nombre de postes « haut niveau affectés dans les CREPS, le protocole Préfet/Recteurs, le décret d’organisation des DRAJES, la convention avec l’Agence nationale du sport, la situation de la direction des Sports ressemble à celle du Moulin de maître Cornille : les minoteries du fond de la vallée engrangent le blé.
Concernant le transfert à l’Education Nationale, nous savons que les effectifs seront transférés au 1er janvier et que les ajustements en « personnes physiques » s’effectueront au fil de l’eau selon la logique du plafond d’emploi.
Ce point nécessite la vigilance de tous au plan local : réunions syndicales formelles et informelles doivent être demandées pour limiter les petits arrangements locaux. Depuis la fin de la consultation des commissions administratives paritaires sur le mouvement, le « fil de l’eau » autorise les chefs de service à faire leur marché.
Pour EPA tous les CTS doivent être affectés en DRAJES et le rester.
Ces trois heures de réunion n’ont pas permis d’aller au bout de l’ordre du jour. Il reste à faire préciser à la Direction des Sports comment elle entend conduire des « logiques de projet », « les spécificités et compétences métier à valoriser », ainsi que « l’animation de réseau et l’écoute des territoires ». Pour EPA, la question de la valorisation des métiers est prioritaire.
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